Actuellement, un taxi, c’est avant tout un chauffeur qui a une licence et qui peut transporter des passagers d’un point à un autre. Ces taxis ont donc des horaires de travail à respecter, un salaire, paie des impôts, font tourner l’économie en achetant des produits et des services qui à leur tour font vivre d’autres personnes. Bref, le modèle économique que tout le monde connaît.
Sauf que si on remplace le taxi par un robot, un véhicule sans conducteur, forcement, il ne reste plus que les impôts que voudront bien payer la société propriétaire du robot. Ce qui avec les techniques d’évasion fiscale toujours plus développée risque de ne pas ramener grand-chose dans les caisses de l’état… Ce qui fera également augmenter les impôts, logique.
Les taxis sans taxi-drivers débarquent l’an prochain au Japon
Il se pourrait bien que les Japonais grillent les américains sur la route des voitures autonomes ! En effet, Robot Taxi, une entreprise basée à Tokyo et qui travaille avec les services publics de la ville prévoit de déployer des dizaines des taxis de ce type pas plus tard que l’an prochain ! L’idée est d’être totalement prêt pour les JO de 2020.
Cela dit, il faut savoir qu’au japon, plus d’un tiers de la population est âgé de plus de 60 ans. Le gouvernement cherche donc par tous les moyens de proposer des services à ces personnes… Sans faire appel à de la main d’œuvre. Mais ce type d’invention va probablement passer les frontières et faire de l’ombre à Uber et autres taxis.
Évidemment, vous allez me dire que de nombreux robots ont déjà pris la place d’emploi humain, mais si Moshe Vardi a raison, et que de plus en plus d’emploi sont remplacé par des robots, il faudra quand même bien trouver un autre modèle de société.