Depuis vendredi dernier (le 13 et non le 1er avril) on en sait un peu plus sur l’avenir de l’une des entreprises les plus puissantes au monde : Google.
En effet, le géant de la recherche sur Internet vient de s’éloigner encore un peu plus de sa spécialité d’origine en rachetant Boston Dynamics, une société qui développe notamment des robots futuristes pour le compte de la défense américaine.
Parmi leurs robots les plus aboutis il y a dont le LS3 (BigDog) cette mule robotique qui permet de transporter de lourdes charges tout en suivants automatiquement les soldats sur les champs de bataille. Mais aussi d’autres bestioles mécaniques comme Cheetah, WildCat et Atlas…
Pourquoi Google a-t-il acheté Boston Dynamics
Il n’y a rien de bien étonnant en fait, en effet Google a déjà racheté 7 entreprises du secteur en moins de 6 mois. Il est donc on ne peut plus clair que Google va, à court terme, produire des robots mais quel type de robots ? Des robots tueurs ou des aides ?
Chez Samsung on a déjà un robot tueur !
Le fait que Google ait racheté une entreprise spécialisée dans le robot militaire ne veut pas dire que comme Samsung ils vont créer des robots tueurs capables de tirer sur un Nord-coréen à plus de 3 kilomètres (vidéo de promo flippante ci-dessous).
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Mais ce dont on peut légitimement avoir peur c’est de la taille que va prendre Google, en effet si après l’Internet et la téléphonie le géant s’attaque au domaine de la robotique, la place risque de manquer pour quiconque souhaitera les critiquer.
Des robots pour aider à la quête transhumanisme ?
L’une des utilités que pourraient avoir ces robots, c’est d’améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains. Car chez Google on considère que le handicap, la maladie ou le vieillissement sont indésirables et peuvent être évités en utilisant la technologie. C’est ce que l’on appelle le transhumanisme (et ce mouvement est assez proche d’une secte…)
Dans tous les cas, il est certain que la chose va avancer et va avancer vite car à la tête de la cellule robotique Google a placé Andy Rubin qui n’est autre que l’homme à l’origine d’Android, le système d’exploitation mobile n°1 du marché sur smartphone.
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